mardi 30 décembre 2014

Confidentialité des publications sur Facebook. comment s'y retrouver

Ce petit article est juste une introduction pour orienter l'utilisateur débutant dans le dédale des possibilités de réglage des paramètres de confidentialité du "réseau social" Facebook. 

La question de la confidentialité ou de la publicité que l'on veut donner à un lien, une photo ou un document quelconque que l'on souhaite publier sur facebook dépend d'abord de la réponse à la question suivante: avec qui est ce que je veux partager ce document?

En fonction de la réponse on gère les critères.

Où publier le document?


samedi 27 décembre 2014

John Massa enflamme le Rouge Belle de Mai

Déjà près de deux mois se sont écoulés depuis la dernière prestation de John Massa à laquelle j'ai pu assister. C'était au Korigan de Luynes..





mercredi 24 décembre 2014

Joe Cocker, rauque'n'roll (Le Figaro)



La star anglaise du blues-rock, une des dernières légendes de Woodstock, s'est éteinte hier à l'âge de 70 ans des suites d'un cancer du poumon dans son ranch du Colorado.

La voix éraillée, les mains mimant un jeu de guitare avec ses riffs endiablés du classique des BeatlesWith a Little Help from My Friends, ses cheveux longs et ses pattes qui descendent jusqu'au cou. Woodstock, 1969. Joe Cocker, 25 ans, enflamme le plus célèbre des festivals de rock en faisant hurler la chanson de Lennon et McCartney dans son tee-shirt sur lequel est inscrit «tie and dye». Entouré de Janis Joplin, Jimi Hendrix et Jefferson Airplane, le chanteur écrit la première page de son histoire en mélangeant blues, rock, une gestuelle et une présence scénique qui le placent directement dans le panthéon des showmen.

mardi 23 décembre 2014

Rock In Peace Joe Cocker!

Joe Cocker en 1970



Voilà... Depuis 1983 où je l'avais vu à Nice, en premère partie de Supertramp , Joe Cocker faisait parti de ceux qui guidaient mes pas musicaux. Sa voix éraillée, lancinante, scandait des accords rock ou de soul music. Cette année là j'étais resté scotché sur la pelouse du stade en écoutant son interprétation de "You are so beautifull" de Ray Charles. Cette interprétation restera, pour moi, l'un des grands moments musicaux que j'ai pu vivre.






lundi 22 décembre 2014

Fleet Wodd Mac Go your own way

Ce titre est  extrait de l'album "Rumours" publié en 1977.  Elle a été écrite par le guitariste Lindsey Buckingham au moment de sa rupture sentimentale avec la chanteuse du groupe Stevie Nicks. Les producteurs surent jouer habilement de ces dissensions ainsi que des rivalités au sein du groupe pour donner une intensité redoutable à la chanson.

Résultat elle est rentée au top500 du "rock'n'roll top of fame".


jeudi 18 décembre 2014

De la RATP à Solidays, la sensation Fränk (Le Figaro)






Le cocktail musical du jeune artiste, repéré récemment par Patrice, a séduit le public du festival parisien.








mardi 16 décembre 2014

Ney Young, Layla Zoé.... Hey, Hey, My, My



Voilà une reprise de l'un des plus grands succès de Neil Young qui dépote. La chanson est issue de son album Rust Never Sleeps paru en 1979. La version acoustique ouvre l'album (My, My, Hey, Hey (Out of the Blue)). Une version "électrisée" le ferme (Hey Hey, My My (Into the Black))

samedi 13 décembre 2014

John Hiatt, le blues à l’état de mature (Libération)








Ce compositeur américain hors pair sort un 22e album studio, plus roots que jamais.

Voici un artiste dont la réputation a toujours été plus grande que le succès populaire. John Hiatt aura joué avec les plus grands et vu ses compositions reprises par Bonnie Raitt, B.B. King, Rosanne Cash, Eric Clapton, Dr Feelgood, Iggy Pop ou bien les Neville Brothers, Ry Cooder et même Dylan, pour ne citer qu’eux. Tous auront contribué à lui donner l’envie de continuer à produire ses reliques bluesy et ses ballades tintées d’accents du sud des Etats-Unis.

mercredi 10 décembre 2014

Patti Smith célèbrera les 40 ans de Horses à Paris, en 2015 (Le Figaro)





Pour l'anniversaire de son premier album, en novembre 2015, la chanteuse américaine prévoit plusieurs manifestations, notamment en France. La suite de son autobiographie Just Kids devrait également voir le jour prochainement.





dimanche 7 décembre 2014

Calvin Russel: When you smile






Une très belle chanson d'amour extraite de l'album Unrepentant  publié en 2007.










jeudi 4 décembre 2014

Joe Bonamassa aux "Nocturnes de RTL"

Le Mercredi 17 septembre 2014, sur RTL, Joe Bonamassa a été inteviewé dans le cadre de l'émission "les Nocturnes de RTL"



Joe Bonamassa est ce que l’on appelle un  "Guitar Hero" aux USA. Originaire de la Côte Est des Etats-Unis, il s’est installé sur les bords du Pacifique,  "là où il fait toujours beau" précise-t-il. Sa maison à Malibu est surtout l’ endroit où il range soigneusement ses guitares et ses amplis. La collection d’instruments de Joe est impressionnante. Et il connait l’histoire de chacune de ses guitares, souvent des modèles vintage. Joe Bonamassa a commencé à jouer de la guitare à l’âge de 4 ans. Il faut dire qu’il était à bonne école puisque son père tenait un magasin d’instruments de musique à Utica, dans l’état de New York. A 11 ans, il partageait déjà la scène avec B.B. King. Inutile de préciser que Joe a joué avec tous les grands du blues aux USA. Et c’est un boulimique de travail. Il sort 1 album par an au minimum. Le dernier, "Different Shades Of Blue" , est en vente depuis le 22 septembre dernier, toujours produit par son ami Kevin Shirley. "Ce n’est pas un disque de reprises, pour prouver que je suis capable d’enregistrer du matériel original, même si l’introduction est un titre très court de Jimi Hendrix" se plaît-il à préciser en souriant.Joe Bonamassa  a acordé une interview à Georges Lang dans le studio des Nocturnes. Au cours de l’entretien, il dit son envie de revenir en 2015 à Paris avec Beth Hart avec qui il a enregistré deux albums. Dans la foulée, il est descendu au Grand Sudio RTL (vide, sans public) pour nous gratifier de quelques titres en acoustique. Quelle dextérité, quel toucher de guitare ! Décidément, Joe Bonamassa est un grand guitariste de blues, et il n’a que 37 ans…

mardi 2 décembre 2014

30 novembre 2014 bourse d'échange de custom Pays d'Aix



2 fois par an le club Custom Pays d'Aix organise sa bourse d'échange à Bouc Bel Air, place des marronniers au domaine de la la Salle.


samedi 29 novembre 2014

Cigarettes and Coffee (Otis Redding)





Une chanson créée par Otis Redding en 1966 et magnifiquement reprise par Etta James. Une belle déclaration d'amour.

mercredi 26 novembre 2014

«He Hit Me», hymne au beurre noir (Libération)




Chantée par les Crystals en 1962, c’est la plus marquante des chansons sur les violences conjugales auxquelles chaque 25 novembre est consacré dans le monde. Incomprise, elle fut interdite d'antenne, avant de devenir un classique féministe dans les années 90.

Parmi toutes les chansons qui évoquent plus ou moins frontalement la question des violences conjugales, il y en a une qui aurait pu disparaître à jamais avant de devenir la plus emblématique et puissante: He Hit Me (And it Felt Like a Kiss), enregistrée par les Crystals en 1962.

 The Crystals - He Hit Me (And It Felt Like A Kiss)


mardi 25 novembre 2014

Les fables du diable Lavilliers (Le Monde)

 



Quarante ans après « Le Stéphanois », album fondateur de sa mythologie, le chanteur publie « Acoustique », dans lequel il reprend d’anciennes chansons





mercredi 19 novembre 2014

Quartiers Nord: tous au Piquet à Aix en Provence


Il fait un temps à ne mettre ni un gréviste ni un musicien dehors ? La pluie frappe dur et l'humidité est envahissante. Cependant quelque chose me pousse à aller me perdre au milieu des immeubles du quartier de Jas de Bouffan à Aix. C'est la perspective de rejoindre la musique festive du groupe Quartiers Nord.

Un groupe que j'ai découvert en 1980, au moment de la sortie de leur premier album Ils débutaient et je m'envolais dans l'adolescence. Leur hard rock marseillais évoquaient les quartiers où j'avais grandi et l'ambiance locale. Le son et la fougue des deux guitaristes de l'époque, Alain Chiarazzo et Philippe Troisi, m'ont entraîné sur les pentes musicales du rock puis du blues.

samedi 15 novembre 2014

Paul Personne fait de la résistance Nouvel album, Puzzle 14 (RFI)









Moins gourmand qu'au début de cette décennie où il avait livré deux albums presque coup sur coup (Face A et Face B), Paul Personne n'a en revanche rien perdu de sa dextérité légendaire. Son Puzzle 14 s'inscrit dans la continuité et fera le bonheur des amateurs de solos de guitare.




Il est temps de lui décerner une double médaille : du mérite pour l'ensemble de son œuvre et de l'abnégation pour cette faculté à tracer son bonhomme de chemin loin du miroir aux alouettes. Paul Personne semble condamné à un destin d'icône pour chapelles, avec tout ce que cela comporte d'excellence, mais aussi de confidentialité.

Ne pas compter sur ce nouveau chapitre, le quatorzième précisément, pour le voir user de synthés ou recourir à d'autres artifices. La séduction mécanique, ce n'est pas son truc. La tyrannie de la nouveauté, non plus. Il ne fait que ce qui lui convient, c'est-à-dire creuser encore et encore le même sillon. Donc du blues rock détonant, comme il sait si bien le distiller. C'est un disque à l'ancienne, riche d'une certaine fluidité stylistique et dévoilant une facette plus groovy que les dernières livraisons.

Paul Personne n'a guère besoin de lire des encyclopédies. Il branche son ampli, enfile sa Gibson et la fait gémir en toute liberté. Entre plainte et rugissement, les solos de guitare échevelés et passionnés prennent le pouvoir. Ils occupent l'espace-temps, s'étirent parfois jusqu'à plus soif. C'est son terrain de jeu favori, sa manière de s'exprimer, d'assembler ses pièces.

En compagnie de son groupe À l'Ouest, il va là où le cœur le mène. D'humeur apparemment désenchantée et obnubilée par le temps qui passe, Paul Personne donne l'impression de vouloir fuir cette société frénétique. Succincts – hormis Mainmise - et aux motifs répétitifs, les textes n'ont pourtant pas le même éclat que ses assauts mélodiques. Reste dix doigts qui continuent, eux, de vibrer à l'unisson.



mardi 11 novembre 2014

Manitas de Plata, ci-gît le gitan ( Libération)


Comment le guitariste de Montpellier, décédé mercredi, est devenu une figure mondiale de la world music.

New York, le 24 novembre 1965. Un musicien français remplit le prestigieux Carnegie Hall, temple du classique et du jazz. La demande est telle qu’un nouveau concert est programmé le 4 décembre. Et un autre le 18. Comment Ricardo Baliardo, alors guitariste gitan analphabète de Montpellier, qui n’est pas une vedette dans son pays, a-t-il réussi pareil exploit? On peine aujourd’hui à imaginer ce que fut le succès planétaire de Manitas de Plata, qui s’est éteint paisiblement, mercredi, dans une maison de retraite de Montpellier, à l’âge respectable de 93 ans. Son importance dans l’histoire de la musique populaire est double : il a fait connaître la guitare flamenca à un vaste public de non-initiés, avant d’ouvrir la voie à ses enfants, neveux et petits-enfants réunis au sein de Gipsy Kings.

samedi 8 novembre 2014

Interview : Beth Hart (Le Républicain lorrain)

Musique - La chanteuse américaine Beth Hart a connu la drogue et l'alcool avant de gagner, à 19 ans, l'émission Star Search aux États-Unis. Elle côtoie désormais les plus grands.

Peut-on dire que votre musique est un mélange de soul, blues et jazz ?

Beth Hart : Oui, mais il ne faut pas oublier le rock'n'roll. Et même si mes shows ne sont plus aussi rock qu'à mes débuts, il m'arrive encore de chanter Whole Lotta Love de Led Zeppelin...

dimanche 2 novembre 2014

Chains & Things de BB King à Joe Bonamassa


Cette chanson a été créée par BB King. Elle a été publiée sur le 18 eme album du légendaire guitariste "indianola Mississipi Seeds" en 1970. Joe Bonamassa a repris ce morceau légendaire sur l'album "Black Rock" publié en 2010

lundi 27 octobre 2014

La douce soul de Bettye Lavette










Betty Lavette,  Voici un nom qui ne résonne pas forcément dans l’inconscient collectif des amateurs de musique. Seuls quelques passionnés de l’histoire de la musique la connaissent. Son registre musical et son timbre de voix trop proches des création de Tina Turner ont longtemps été écrasé par la prestance de cette dernière. Quand on l’écoute, on se dit de c’est dommage.

Après un premier 45 tour en 1962, et une longue période de disette  musicale, elle a fini par rencontrer le succès en venant se produire en Europe. Cela me rappelle, quelque part l’histoire de Calvin Russell qui avait fait de même au tournant des années 90. On disait de lui qu’il était le plus français des texans.


jeudi 23 octobre 2014

JAZZ COSMIQUE: Sun Ra, soleil noir (Libération)

Herman Poole Blount a illuminé le jazz de sa philosophie cosmique pendant près d’un demi-siècle. Son Arkestra, école refuge de musiciens affranchis, poursuit son œuvre à Philadelphie.

«Le concert n’était pas spectaculaire en termes d’effets scéniques - on sentait qu’ils étaient un peu fauchés - mais plutôt en termes d’atmosphère bizarre. Il était spectaculaire parce qu’il présentait une vision du monde tellement occulte, tellement différente, pour nous dans le public, que les seules réponses possibles étaient un refus complet ou une empathie instinctive pour un homme qui a choisi de rejeter tous les attributs d’une vie normale pour devenir un être d’ailleurs…»

Le journaliste et musicien britannique David Toop ne s’est toujours pas remis du premier concert de Sun Ra et son Arkestra au Royaume-Uni, en novembre 1970. Le groupe américain est alors au début de sa première tournée en Europe et le public découvre son univers total et exubérant.

lundi 20 octobre 2014

Gilberto Gil, sa bossa nous va (Libération)

Après un concert magique à Lyon la semaine dernière, le chanteur bahianais, ex-ministre de la Culture du président Lula, se produit en solo ce lundi au Châtelet.

Gilberto Gil, 72 ans, est l'un des fondateurs du courant tropicaliste. (Photo Daryan Dornelles)

En ce mois d’octobre, le Brésil dépêche en France son ambassadeur le plus charmant, le plus sensible, le plus accompli. Si, ce lundi soir au Châtelet (Paris Ier), Gilberto Gil est dans l’état de grâce qu’il a connu lundi dernier à Lyon pour la première date de sa tournée européenne, alors le concert promet d’être mémorable.
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vendredi 17 octobre 2014

John Massa enchante le Korigan



J'ai découvert le saxophoniste John Massa en l'écoutant au sein de la formation TheGodfathers of Marseille. Il y apporte une couleur particulière à la musique soul du groupe amené par Jean Gomez. Ce groupe travaille essentiellement sur des reprises de grands standarts avec un talent affirmé.

J'ai ensuite eu l'occasion de l'apprécier avec son quartet le « John Massa Trip Band ». Où il exprime sa musique faite d'un jazz teinté de funk. C'était au Perroquet Bleu. Un restaurant musicalmarseillais.

Ce soir, je retrouve le musicien avec grand plaisir au Korigan. Une petite salle située sur la route entre Aix en Provence et Luynes qui propose, depuis la rentrée, des soirées jazz le jeudi soir.

La salle est bien pleine. Des chaises sont disposées en rang serrés et, en attendant le début du spectacle, le public papote.






mercredi 15 octobre 2014

Archie Shepp, le blues sublimé et le cri de rébellion (L'Humanité)

Le légendaire saxophoniste et activiste convie, à Jazz à la Villette, à un programme inédit, avec le bluesman Joe Louis Walker 
 et la pianiste-vocaliste Amina Claudine Myers.

Fara C. L'Humanité, le 12 septembre 2014
  
Révélé dès 1960 comme un des fervents artificiers du free jazz, Archie Shepp, à soixante-dix-sept ans, revient se désaltérer à sa source, le blues, pour un concert inédit à Jazz à la Villette, avec le guitariste et chanteur Joe Louis Walker et la pianiste et vocaliste Amina Claudine Myers. Le mensuel Jazz Magazine-Jazzman lui accorde, en septembre, la couverture et consacre un passionnant dossier « Archie Shepp-John Coltrane » de 35 pages. Les abonnés ont, en bonus, un CD de trois titres intitulé les Premiers Pas du jeune homme en colère : vingt-deux minutes d’une musique aussi radicale que radieuse. Le blues n’a cessé d’irriguer l’art de Shepp. On en perçoit les éclairs dans son dernier disque, Live-I Hear a Sound (re-création de son historique manifeste de 1972, Attica Blues). Le légendaire saxophoniste, compositeur, auteur et comédien américain incarne à la fois une modernité éclatante et la mémoire de la ségrégation raciale.

lundi 13 octobre 2014

Le contrebassiste Riccardo Del Fra rend hommage à Chet Baker (Le Monde)

Riccardo Del Fra
Riccardo Del Fra

Rémi Fox (sax alto), Ariel Tessier (drums), Virxilio Da Silva (guitare), plus ceux qui figurent déjà sur le superbe album hommage de Riccardo Del Fra, My Chet My Song (Cristal, Harmonia Mundi), Airelle Besson (trompette, dans le rôle, en scène) et Bruno Ruder (piano). Sept musiciens sur la scène du Sunside, réunis pendant trois soirs, les 3, 4 et 5 octobre (rue des Lombards, à Paris 1er) par leur Maître, Riccardo Del Fra.

 Deux sets d’émotion et d’exactitude : l’éthique de Riccardo, un traitement faussement réglo des harmonies, des jeux subtils d’écriture, beaucoup d’espace aux improvisateurs, une certaine élégance, mais surtout, sans rien d’engoncé, une certaine conception de la dignité et de la loyauté.

mercredi 8 octobre 2014

Mon Vier dernier concert au Korigan de Luynes






Mon Vier, voilà un nom plein de poésie pour un groupe de rock et de rythm’n’blues. Ce groupe écume les scènes de notre région depuis 5 ans dans des endroits parfois improbables allant des pizzerias aux prisons. Ce samedi 27 septembre, le groupe a posé ses choses sur la scène de Korigan de Luynes.

Le Korigan est une petite scène qui, pour cette année 2014/2015 présente un programme varié et de qualité. Les spectacles vont du blues au jazz en passant par le rock’n’roll et la variété.















lundi 6 octobre 2014

Calvin Russell: I love you

 

Cette chanson est extraite de l'album "Sound of the fouth world" publié en 1997. Un peu de romantisme en ce début de semaine, ne peut pas faire de mal.




 

samedi 4 octobre 2014

Calvin Russel: Trouble






Calvin Russell n'a jamais été un grand optimiste. Cette chanson est extraite de l'album Dream Of The Dog publié en 1995.






mercredi 1 octobre 2014

Jazz, à l’envie à la mort (Libération)

(Photo Valentina Cinelli. Flickr)



JAZZ: Depuis les années 30, son avis de décès a maintes fois été publié. Alors, complètement «jazz been», le genre musical de John Coltrane et Miles Davis ? Points de vue de musiciens.

«Jazz is not dead» : c’est la punchline du festival Jazz à la Villette, dont l’édition 2014 vient de s’achever. Clin d’œil à Frank Zappa qui, en 1974, avait eu cette fameuse formule : «Jazz is not dead, it just smells funny» («le jazz n’est pas mort, il a juste une drôle d’odeur»). Le genre musical porté par Duke Ellington, Charlie Parker, John Coltrane et des milliers d’autres improvisateurs est certes encore vivant, mais a-t-il un avenir ? N’est-il pas devenu une musique de répertoire, encline aux commémorations et aux hommages, aux redites et aux citations ? Le festival de la Villette, avec bien d’autres, entend prouver chaque année que non, quoique sa punchline montre qu’il se pose bel et bien la question.

lundi 29 septembre 2014

Mistral Blues : tempête au O'Bells




Mistral Blues est un groupe de la région marseillaise qui écume les pubs de la région depuis plus de dix ans.. J'ai eu l'occasion de les voir à deux reprises.

vendredi 26 septembre 2014

Bernard Lavilliers : “Je ne chante plus comme avant. A présent, je propose” (Télérama)

Bernard Lavilliers
Bernard Lavilliers


 Défenseur des sans-voix, le rockeur grande gueule est enfin reconnu comme une figure de la chanson à texte. Et si le baroudeur s'est assagi, il n'a rien perdu de son mordant. Bernard Lavilliers sera présent à Télérama Dialogue, lundi 29 septembre.

Bernard Lavilliers

Un physique, une voix, un propos. Un univers musical, vaste et éclectique, aussi ancré dans la tradition chanson qu'ouvert au monde, mais qui n'appartient qu'à lui. Séduisant, drôle — parfois malgré lui —, intimidant, émouvant, Bernard Lavilliers est un self-made personnage, un peu hâbleur mais humain. Un homme sincère qui cultive son mystère. Son oeuvre poétique et militante a traversé depuis quarante ans les époques pour faire de lui aujourd'hui un fringant mais sage sexagénaire ; un ténor décalé, solide mais insaisissable, d'une chanson d'auteur supérieure. Aventurier lettré, bête de scène qui se ressource dans la lecture, mégalo assumé à la pudeur non feinte, Bernard Lavilliers est la plus subtile des forces de la nature. Qui fascine, séduit, force le respect. Et donne envie de se mesurer à lui, l'ancien boxeur, non pas pour prendre des coups, mais pour en chatouiller la carapace.

mercredi 24 septembre 2014

Les différentes nuances de bleu de Joe Bonamassa (Le Républicain Lorrain)

Avec Different Shades Of Blue, Joe Bonamassa ne se limite pas qu’au blues. Cette fois le bonhomme, qui est aussi un fabuleux chanteur, explore d’autres sons à même de pouvoir toucher un public beaucoup plus large. Photo Rick GOULD
Double actualité pour le héraut du blues Joe Bonamassa. Le chanteur-guitariste sort lundi son nouvel album, Different Shades Of Blue , avant d’entamer une tournée qui le mènera à Esch-sur-Alzette le 4 octobre. Entretien.

Avec l’album Different Shades Of Blue , qui sort lundi, vous poursuivez votre exploration musicale entre blues et classic rock…

Joe BONAMASSA
: « Exactement. Il y a des morceaux typiquement blues, d’autres plus rock. C’est un album composé entièrement de chansons originales. J’ai mis un an à l’écrire. Je me suis entouré de quelques amis auteurs-compositeurs et lorsque j’ai eu tout le matériel nécessaire, nous sommes allés avec les musiciens à Las Vegas. Là, l’album a été enregistré en neuf jours, toujours sous la houlette de mon producteur, Kevin Shirley. »

dimanche 21 septembre 2014

Bernard Lavilliers chante "devant un public populaire et qui cherche à comprendre" (LHumanité)

Bernard Lavilliers a répondu aux questions de l'Humanité dès la fin de son concert sur la Grande scène de la Fête de l'Humanité où il a donné un concert exceptionnel, intimiste et engagé. Ecouter également des extraits live de "On the road again", "Les mains d'or", "La Salsa",  et "L'affiche rouge" d'après le poème de Missak Manouchian et Louis Aragon mis en musique par Léo Ferré.

Interview Vidéo

Bernard Lavilliers a répondu aux questions de l'Humanité dès la fin de son concert sur la Grande scène de la Fête de l'Humanité où il a donné un concert exceptionnel, intimiste et engagé. Ecouter également des extraits live de "On the road again", "Les mains d'or", "La Salsa",  et "L'affiche rouge" d'après le poème de Missak Manouchian et Louis Aragon mis en musique par Léo Ferré. - See more at: http://www.humanite.fr/videos/bernard-lavilliers-chante-devant-un-public-populaire-et-qui-cherche-comprendre-552050#sthash.iSGEv1lT.dpuf

jeudi 18 septembre 2014

Les Velvet Veins injectent leur Delta blues dans le rock parisien (Le Monde)

Théo Lawrence se rêve en musicien noir américain du sud des Etats-Unis. Né blanc, franco-canadien, il vit dans le sud de Paris. Au sein du groupe Velvet Veins, il puise à la source du blues, du folk et de la country, au cœur du Delta du Mississippi jusqu'en Arizona. « Ces territoires alimentent notre musique et nos textes. C'est plus de l'ordre de l'imaginaire que du concret », explique le chanteur, guitariste et auteur-compositeur de 19 ans.

Velvet Veins a fait ses débuts en 2012 sur la scène rock parisienne. Son nom n'est ni un hommage au Velvet Underground de Lou Reed, ni une référence à la drogue (les veines). Il sonne bien. Le quartette a écumé les petites salles rock réputées (Gibus, Bus Palladium, La Boule noire…), ouvert pour Jonathan Wilson au Trabendo en 2013 et se produira sur la scène Ile-de-France de Rock en Seine, vendredi 22 août, à 20 heures. Leur premier festival.

lundi 15 septembre 2014

Led Zeppelin : Whola Lotta Love élu meilleur riff de tous les temps (Le Figaro)



Le riff de Whole Lotta Love vient d'être élu «meilleur riff de tous les temps» par les auditeurs de BCC Radio 2. Sur 100 titres sélectionnés par des critiques musicaux, DJ et producteurs, la chanson de Led Zeppelin est ainsi arrivée en tête du classement devant les titres Sweet Child O' Mine de Guns N' Roses, Back In Black d'AC/DC et Smoke On The Water de Deep Purple.

vendredi 12 septembre 2014

Renaud raconte "Dès que le vent soufflera" (L'Express)

Les Francofolies ont 30 ans. L'occasion d'une balade estivale à travers des succès cultes. Dernière escale: Dès que le vent soufflera, inspiré à Renaud en 1983, lors d'une traversée de l'Atlantique. En exclusivité pour L'Express, il commente sa chanson.

Perfecto, cheveux jaunes, regard de bitume, Renaud est une silhouette familière du Marais. Il a fait la manche dans la cour du Café de la Gare, "Comédie-Française post-soixante-huitarde", selon Romain Bouteille, son fondateur. Vécu sur place la "fête au pinard" avec les bandes de Hara-Kiri et du Grand Magic Circus. Chanté son premier album à la Pizza du Marais (aujourd'hui, les Blancs-Manteaux). Et fait l'acteur dans La Revanche de Louis XI à La Veuve Pichard, l'actuel Point-Virgule. 

mardi 9 septembre 2014

Lavilliers : "La Fête de l’Humanité porte bien son nom" (L'humanité)

Le chanteur sera sur la grande scène dimanche. Un événement qu’il ne manquerait pour rien 
au monde, lui, dont la première venue à la Fête date de 1976. Il promet d’y chanter "Les Mains d’or" et "l’Affiche rouge". Un grand moment d’émotion en perspective.






Sur votre carnet de bord revient souvent le mot Fête de l’Humanité. Que représente pour vous le fait de chanter dans ce rendez-vous à la fois culturel et politique où vous vous produirez pour la 8e fois depuis votre première venue en 1976 ?


Bernard Lavilliers
La Fête de l’Humanité est un événement populaire. Elle porte bien son nom, d’ailleurs. J’y ai chanté, je crois, en 1976 pour la cellule d’Ivry-sur-Seine. Deux ans plus tard, j’ai dû me produire sous le chapiteau. C’est vrai que j’y suis passé souvent. Cela reste un endroit tout à fait spécial où il y a des concerts, des conférences, où on peut même rencontrer des poètes en chair et en os, ou voir des expositions dadaïstes. La Fête de l’Huma est un événement polyculturel. Cela fait tellement partie de la vie de la banlieue parisienne que ça m’étonnerait qu’elle disparaisse !

dimanche 7 septembre 2014

Retour par les étangs camargais

C’est l’heure du retour…. Toutes les bonnes choses ont une fin. Mais il faut avouer que cette semaine a été bien riche en découverte de lieux, de paysages et de l’Histoire qui y est associée.




Bagages, faits, équipés, le top départ est donné. J’aimerais bien longer le bord de mer mais la route qui relie Carnon à la Grande Motte est barrée sur une bonne partie du trajet. Nous avons droit, alors à la voie rapide. Nous rentrons dans La Grande Motte et nous nous perdons, un peu, dans le dédale des résidences. J’y suis relativement mal à l’aise et la multiplicité des travaux, en ce début de printemps, ne facilite pas les choses.





jeudi 4 septembre 2014

De la garrigue aux portes des Cévennes






Et hop ! C'est reparti ! Une nouvelle journée de balade à la découverte des routes héraultaises et gardoises démarre en trombe. Ou presque. Comme lors de chaque sortie ou presque notre itinéraire, au départ de Carnon, passe par Mauguio et Castries. Ces deux villages sont, au final, les pivots de notre séjour. Il nous faudra y réfléchir la prochaine fois que nous reviendrons par ici.

Une fois traversé Castries en suivant la D610, nous prenons à gauche par la D54 et retrouvons enfin la paix des petites routes de campagne en direction de Sussargues.

lundi 1 septembre 2014

Découverte des garrigues de l'Hérault



Ce matin, le ciel bleu est partiellement de retour. Nous prenons la direction de Pignan. Par la D185 en passant à proximité immédiate de la prison de Villeneuve les Maguelone et du Mont Saint Bauzille. Renseignements postérieurs pris, il y a un joli point de vue sur la réserve naturelle de l'Estagnol et les étangs autour de la cathédrale Saint Pierre de Maguelone, que nous avons visitée hier, à de partir de cet endroit. Ce sera pour une prochaine balade.

vendredi 29 août 2014

Balade autour de Sète et des étangs de l'Hérault


Ce matin, le temps est incertain et la météo pessimiste. Cependant les nuages semblent se concentrer sur les reliefs.

Plutôt que de rester enfermés, nous décidons d'aller visiter la cathédrale de Saint Pierre de Maguelone  en passant au plus près du bord de mer. Nous quittons notre studio et traversons Palavas les Flots. Par précaution, je ne prends pas la petite GoPro. Même si elle est étanche, je reste prudent.