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mardi 17 janvier 2017

La FFMC appelle au boycott de la vignette Crit’Air


Trente-sept après sa création, quand elle appelait à boycotter une vignette fiscale à l’époque de Giscard d’Estaing, la Fédération française des motards en colère appelle à boycotter les vignettes Crit’Air de madame Royal.


lundi 19 septembre 2016

Les restrictions de circulation en ville




25 communautés d’agglomérations françaises projettent d’interdire aux véhicules dits « anciens » d’accéder aux  villes. Cela commence à Paris dès le 1er juillet 2016 où l’interdiction va concerner les voitures de tourisme d’avant 1997 et les deux-roues motorisés (2RM) mis en circulation avant juin 1999 !


dimanche 27 décembre 2015

Etat d’urgence : la FFMC reprend ses actions de terrain

Suite aux attentats du 13 novembre dernier à Paris et à la mise en place par les pouvoirs publics de l’état d’urgence, le Bureau national de la FFMC a pris la seule décision qui lui semblait adaptée sur le moment : appeler ses militants à ne pas entraver l’action des forces de l’ordre mobilisées sur le terrain par des manifestations ou actions dont les tenants et aboutissants pouvaient paraître bien dérisoire en un pareil moment.


La circulation "interfiles" des deux-roues motorisés sur les rails


C'est officiel, un décret paru le samedi 26 décembre 2015 au Journal officiel annonce la mise en place de "l’expérimentation interfile des deux-roues motorisés" sur les voies rapides en Ile-de-France, dans les Bouches-du-Rhône, la Gironde et le Rhône, à partir du 1er février 2016.

jeudi 11 juin 2015

Motard d’un jour à Marseille : le mépris des autorités provoque la colère de la FFMC (Motomag)





Grosse colère à la FFMC des Bouches-du-Rhône ! Malgré 220 invitations envoyées pour l’opération Motard d’un jour, aucun élu ni fonctionnaire n’a répondu présent ! Preuve de leur considération pour les usagers à deux-roues motorisés…


jeudi 12 mars 2015

Toutes en moto le 8 mars 2015 à Marseille









La 6e édition de « Toutes en moto » s’est déroulée le 8 mars. Près de 7.000 motardes, aux commandes de la machine ou en passagère, ont défilé à travers la France, dans onze villes.

A Marseille le rendez vous se situait sur l'Esplanade du "Dôme" à proximité du Conseil Général. 300 motardes se sont rassemblées dont une délégation gardoise de 80 motos qui a été chaleureusement accueilli.





mardi 10 février 2015

Ce lundi, Paris ne voulait pas de motards devant l’Hôtel de ville ! (Motomag)

Une poussée de fièvre motophobe a saisi mairie et préfecture de police, le 9 février au matin à Paris : rue Lobau, derrière l’Hôtel de ville, la circulation était autorisée aux automobiles mais les policiers en faction, nombreux, interdisaient le passage à tout deux-roues motorisé !

L’équipe municipale, soutenue par la préfecture de police de Paris, avait de quoi être tendue : l’antenne de Paris-Petite-Couronne de la Fédération française des motards en colère (FFMC-PPC) avait promis une mobilisation au moment de l’ouverture du Conseil de Paris, le 9 février à 9h, devant l’Hôtel de ville. Devait y débuter la délibération sur le plan d’actions contre la pollution atmosphérique locale liée au trafic routier. (compte rendu de la réunion :
Le Conseil de Paris a validé le plan anti-pollution ! (Motomag) )

Dans ce plan, la très controversée mesure d’interdiction de circulation progressive pour les véhicules à moteur thermique : les motos d’avant 2000 seront interdites dès juillet 2016, puis en 2020, ce sont les motos d’avant 2015 qui seront interdites.

Ces mesures, qui sont encore à l’état de projet, ont fait l’effet d’une bombe dans la communauté motocycliste, qui s’est mobilisée en masse à l’appel de la FFMC-PPC, le 8 février. PPC voulait prolonger la mobilisation massive par un coup de pression, le 9 février devant les fenêtres de l’Hôtel de ville.

Sans possibilité d’accéder au parvis, les motards, au nombre d’une centaine, se sont retranchés vers la place du Châtelet ; mission accomplie pour la préfecture et l’équipe municipale, qui a donc réussi à museler la parole de simples citoyens, modestes, utilisant leur motocyclette au quotidien pour aller travailler… Bel exercice de la démocratie !

Mais le combat n’est pas terminé : la FFMC-PPC poursuivra son action dans les semaines qui viennent.

Nicolas Grumel - 09/02/2015

Le Conseil de Paris a validé le plan anti-pollution ! (Motomag)

 Le combat contre l’interdiction des 2RM de circuler à Paris n’est pas terminé. Malgré la forte mobilisation des Motards en colère, la veille, le Conseil de Paris a validé ce lundi 9 février le plan anti-pollution d’Anne Hidalgo. Une étape de plus vers la fin de nos motos d’avant 2000 ? Pas encore…

Les deux-roues motorisés (2RM) persona non grata aux abords de l’Hôtel de Ville ce lundi 9 février matin ? Le Conseil de Paris commence sous les pires augures pour les motos. En effet, sous la menace d’une manifestation de l’antenne FFMC de Paris, la préfecture de police n’a pas hésité à mettre des agents aux quatre coins du bâtiment, filtrant tout ce qui ressemble à un 2RM. Mais laissant bien sûr passer les autres usagers (voitures, vélos, piétons…). Vous avez dit discrimination ? : compte rendu de la manif interdite: Ce lundi, Paris ne voulait pas de motards devant l’Hôtel de ville ! (Motomag)

lundi 9 février 2015

Manifestation FFMC à Paris : 3000 motards contre l’interdiction de circuler (Moto Magasine)








Les motards ont bravé le froid pour manifester dans la capitale, le 8 février entre l’esplanade du château de Vincennes (94) et l’Hôtel de ville de Paris. Il se sont rassemblés à l’appel de la FFMC Paris Petite-Couronne (FFMC PPC), pour protester contre la probable interdiction de circulation des motos et scooters.


samedi 7 février 2015

Flash info : Paris interdit la manif FFMC lundi 9 février… avant d’interdire la moto !!

Communiqué de la  FFMC Paris Petite Couronne :

Ce flash-info fait suite à l’appel du 29 janvier dernier à manifester contre le plan anti-pollution que la Mairie de Paris compte adopter lundi prochain, le 9 février.

Suite aux menances grandissantes d’interdiction des 2 roues motorisés dans Paris, La FFMC appelle à 2 rassemblements :
* l’un ce dimanche 8 février à partir de 14 heures depuis l’esplanade du château de Vincennes ;
* l’autre sur le parvis de l’Hôtel de Ville durant le Conseil municipal, lundi 9 février.

La Préfecture de Police de Paris vient d’interdire le rassemblement du lundi 9 février devant la Mairie de Paris.

A chacun de juger la façon dont la mairie de Paris et la préfecture considèrent les citoyens et leur droit républicain à manifester leur désaccord. Suite à cette décision, la FFMC Paris, va saisir le tribunal administratif.

La FFMC maintient un rendez-vous lundi à 9h place du Châtelet.

LA MANIFESTATION DE DIMANCHE EST MAINTENUE.

RENDEZ VOUS COMME PREVU A 14 H ESPLANADE DU CHATEAU DE VINCENNES.

Pas seulement les scooters et moto d’avant 2000

La FFMC rappelle également que le projet de la Mairie de Paris ne se limite pas à l’interdiction des 2 roues motorisés antérieurs à l’an 2000.

Progressivement, tous les 2-roues motorisés vont être concernés puisqu’il est prévu d’interdire en 2020 les 2RM antérieurs à 2015 (cf. www.ffmc75.net).

Cette mesure s’appliquera ensuite à Paris Métropole, avant de probablement faire jurisprudence auprès d’autres métropoles de l’hexagone. Informez-vous ! Diffusez l’information ! Sensibilisez vos amis, voisins, collègues : scootéristes et motards ! Venez nombreux !


La suite des infos sur :
— > www.ffmc75.net
— > https://www.facebook.com/pages/Ffmc-Ppc/916465391712115
— > www.motomag.com

mardi 3 février 2015

Marseille : la FFMC signale les points noirs aux motards (motomag)







La Fédération française des motards en colère des Bouches-du-Rhône (FFMC 13) a organisé une opération de signalisation sur un point noir routier, au col de la Gineste, le 17 janvier. Objectif, la sécurité routière

Une opération de signalisation d’un point noir routier a été organisée par les militants de la FFMC 13, au col de la Gineste non loin de Marseille, le 17 janvier.

samedi 29 mars 2014

FFMC: 80km/h : non à l’inflation sécuritaire Manifestons à Marseille le 12 avril 2014


Dire que la vitesse est en cause dans les accidents, c’est comme de dire que le feu ça brûle ou que l’eau ça mouille. Ils sont forts, ces experts ! Méthode forte et répression voilà les seules solutions que les experts et le ministère de l'intérieur ont trouvées pour améliorer la sécurité routière dans notre pays ! Il semble que les experts de la sécurité routière aient du mal à distinguer vitesse maximum légale et vitesse adaptée aux conditions de circulation.




vendredi 28 mars 2014

Les fans de motos ne décolèrent pas (L'Union)

CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (51). Les « Motards en colère » de la Marne s’opposent au projet de Manuel Valls de baisser la vitesse de 10 km/h et vont bientôt le faire savoir en mobilisant un maximum de bikers.


 Créée en décembre 2011 et forte d’une bonne cinquantaine d’adhérents aujourd’hui, la FFMC 51 (Fédération française des motards en colère de la Marne), présidée par le Châlonnais Michaël Mathieu, a pris un coup de chaud en entendant les récents propos du ministre de l’Intérieur.

mercredi 19 mars 2014

"Inclure les deux-roues dans la circulation alternée est stupide !" (FFMC) (La Provence)

Eric Thiollier, délégué général de la Fédération française des motards en colère, avait prévenu. Il constate et dénonce.


L'opération de circulation alternée menée dès lundi à Paris et dans sa périphérie n'a pas fait que des heureux. Surtout pas les motocyclistes et les scootéristes dont les moyens de transport sont pourtant les plus pratiques, les moins polluants et les plus civiques qui soient pour se déplacer dans les zones urbaines. On le voit quotidiennement edans les villes de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Pour la FFMC (Fédération française des motards en colère), trop c'est trop et Eric Thiollier, le Délégué général de l'association, qui avait prévenu, monte au créneau.

"Le gouvernement, constate la FFMC, a tellement brassé l’air de l’Île-de-France pollué que les vilaines particules ont fini par diminuer au point de pouvoir suspendre la punition alternée. Dans sa grande sagacité et au terme d’une semaine calamiteuse, le gouvernement a eu la sagesse d’imposer des restrictions de circulation 24 heures avant qu’un changement météo ne vienne purifier l’atmosphère de Paris et de sa petite couronne.

"Les restrictions de circulation n’auront donc embêté qu’une journée les salariés qui n’ont pas eu l’embarras du choix mais juste le choix de l’embarras. Mais attention, dès que le nuage toxique repasse la frontière, le gouvernement remettra ça, c’est promis !
"Les villes qui n’ont pas eu le temps d’expérimenter la machine à laver le ciel, les poumons et les cerveaux réclament déjà leur circulation alternée."

mercredi 12 mars 2014

Contrôle technique : le report à 2022 acté au Parlement Européen (Moto Magasine)

Le report du contrôle technique à 2022 pour les motos, à l’appréciation des États membres, a été acté le 11 mars par le Parlement européen. Scellant une vraie reconnaissance des motards.


dimanche 2 février 2014

Moto mag: 3.000 motards à Paris se font entendre des candidats à la mairie

Un beau succès pour la FFMC ! Près de 3.000 motards selon les organisateurs (1.500 selon la police) ont manifesté le 1er février à Paris. Ils demandaient d’avantage de places de parking et l’arrêt des verbalisations excessives.

Samedi 1er février au matin, un vent de panique soufflait chez les organisateurs de la manifestation des motards à Paris, les coordinateurs et militants des antennes de l’Essonne, de Seine-et-Marne, des Yvelines, du Val-d’Oise et de Paris-Petite-Couronne (PPC) de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC). La pluie incessante depuis la veille risquait de mettre à mal l’organisation du rassemblement.

Mais les éléments s’apaisaient miraculeusement à l’heure du déjeuner et, à 14 heures sur l’esplanade du Château de Vincennes (94), un soleil timide accueillait les premiers manifestants.





samedi 1 février 2014

Moto Mag: Contrôle technique moto : la FFMC 13 manifeste sa joie !

Une vingtaine de militants de la FFMC 13 se sont réunis ce samedi 25 janvier devant le centre de contrôle technique Norisko (qui appartient à Dekra) dans la plus grande zone commerciale d’Europe, celle de Plan de Campagne près de Marseille, pour fêter symboliquement la victoire obtenue dans leur lutte contre le contrôle technique 2RM (deux-roues motorisés).

Banderoles et drapeaux étaient de sortie pour être déployés comme un pied de nez au lobbying des multinationales du contrôles technique – Dekra en tête – que le travail, tout comme la détermination des motards et de la FFMC a réussi à mettre en échec. Cette victoire est une reconnaissance implicite de l’absence de données objectives sur l’utilité d’un contrôle technique périodique pour les 2RM.

Plusieurs centaines de tracts ont été ensuite distribués aux usagers de la route en leur rappelant aussi que le combat mené par les motards, tout comme leur acharnement, leur a aussi profité (pas de changement pour les autres usagers). Pour la très grande majorité, ils ont apprécié l’initiative et l’information qui allaient avec. Au total, les militants de la FFMC 13 seront restés sur place pendant plus d’une heure.

Bien sûr, les Motards en colère restent vigilants à l’avenir face à tout retour possible de ce dossier. Comme quoi, rien n’est jamais perdu, et à l’image de David contre Goliath, la FFMC a pu « terrasser » Dekra.

José Aznar - Correspondant 13

mercredi 14 novembre 2012

lundi 24 septembre 2012

Le Monde: Le contrôle technique met les motards en colère

Des manifestations ont été organisées samedi 22 septembre en France et en Belgique, à l'appel de la Fédération des associations européennes de motocyclistes (FEMA), dont fait partie la Fédération française des motards en colère (FFMC).

Ces associations s'opposent à une proposition de règlement de la Commission, qui veut assujettir les deux-roues, comme les voitures, au contrôle technique, un examen obligatoire et payant. Elles dénoncent une "politique de racket inacceptable".

Les motards sont déjà soumis au contrôle technique dans seize pays de l'Union européenne. Dans les onze autres, dont la France, ils ne le sont pas. Les motards vont rencontrer des députés européens dans leurs circonscriptions pour leur demander de voter contre le projet de la Commission.
Ce projet a été adopté en juillet par le collège des commissaires, à la demande de Siim Kallas, chargé des transports. Il doit désormais l'être par les ministres de l'Union et le Parlement européen.

La Commission propose qu'un premier contrôle intervienne quatre ans après la mise en service du véhicule, un deuxième deux ans plus tard, puis tous les ans. Elle entend ainsi "réduire de moitié le nombre de victimes de la route d'ici à 2020", mais aussi "diminuer les émissions associées au mauvais entretien des véhicules".

ANCIENNETÉ DES VÉHICULES

Bruxelles affirme qu'il existe un lien entre la gravité des accidents et l'ancienneté des véhicules : "Il est prouvé empiriquement que, entre cinq et six ans d'âge, le nombre d'accidents graves (mortels) dus à des défaillances techniques augmente notablement", indique-t-elle. Elle assure que 8 % des accidents impliquant des motos sont causés par des défaillances techniques. Des chiffres avancés par le groupe Dekra, leader du contrôle technique en Allemagne et en France, et contestés par les motards.

Ces derniers mettent en avant l'étude "Motorcycle accidents in-depth study" (Maids), conduite par les scientifiques de cinq pays (dont, en France, le Centre européen d'études de sécurité et d'analyse des risques), et financée principalement par les constructeurs de deux-roues à moteur et la Commission. Elle montre que l'âge du véhicule n'est la "cause primaire" de l'accident que dans 0,3 % des cas ; il constitue un "facteur contributif" dans 5 % des cas. "Si les véhicules de plus de quinze ans sont davantage impliqués dans les accidents mortels, c'est tout simplement parce qu'ils sont rarement équipés d'airbags et d'ABS !", proteste Eric Thiollier, le délégué général de la FFMC.

Une analyse que partage l'accidentologue Claude Got : "Ce qui fait la différence, c'est l'amélioration technique des véhicules neufs", alors que "le contrôle technique n'a pas prouvé son efficacité, dit-il. Une étude norvégienne conduite tous les deux ans sur deux groupes de voitures a montré que leur accidentalité était la même, qu'elles aient eu un contrôle technique ou pas". Claude Got confirme que les problèmes techniques ne représentent qu'un faible "pourcentage de la mortalité" : ils concernent principalement l'éclatement des pneus et la rupture de la galette de direction.

M. Got estime qu'il ne faudrait retenir cette obligation de contrôle qu'"en cas de vente d'un véhicule, quel qu'il soit. Mais il n'y a aucune chance d'obtenir un tel retour en arrière, compte tenu du poids économique atteint par le contrôle technique". Il rappelle que celui-ci a été introduit "à la demande du groupe de pression des automobilistes qui refusait les limitations de vitesse et qui conseillait aux pouvoirs publics de s'occuper plutôt des voitures bancales".

dimanche 23 septembre 2012

AFP: Des milliers de motards ont manifesté contre le contrôle technique européen

Des milliers de motards ont manifesté samedi à et dans plus d'une vingtaine d'autres villes, Strasbourg notamment, pour protester contre le projet de futur contrôle technique européen, a-t-on appris auprès de la française des motards en colère (FFMC).

Cette "journée d'action européenne" concernait également la Belgique, la Finlande, l'Irlande et d'autres pays d'Europe.

Plus de 4.500 motards ont manifesté à Bruxelles à proximité du siège de la Commission européenne, et de 1.900 à 6.000 (selon la police et les organisateurs) devant le siège du européen à Strasbourg.
A Paris, quelques milliers de manifestants se sont répartis sur plusieurs cortèges pour distribuer des tracts aux automobilistes en différents endroits de la capitale, notamment à des portes du périphérique, a précisé à l'AFP Eric Thiollier, délégué général de la FFMC.

Selon la préfecture de police, la manifestation parisienne a rassemblé "près de mille participants".
Des rassemblements de protestation se sont aussi formés devant des centres de contrôle technique "Dekra", grosse enseigne accusée par les motards en colère d'avoir inspiré ce projet imaginé par "les technocrates de la Commission européenne".

Les manifestants considèrent qu'il s'agit d'"une nouvelle contrainte que rien ne justifie" et qui n'améliore en rien la sécurité. Pour eux, c'est une concession accordée aux industriels pour accroître leurs profits.
Ce futur contrôle technique (CT) européen "consiste à augmenter la fréquence des visites techniques obligatoires des véhicules, à renforcer la sévérité des contrôles et à y soumettre les deux-roues motorisés dans les 11 pays de l'Union où il n'y a pas de CT pour les motos", avait rappelé la fédération à la veille des manifestations.

La principale proposition de la Commission européenne est de rendre obligatoire une inspection des motos et des scooters à deux ou trois roues, ce qui n'est pas le cas actuellement dans de nombreux pays européens (Belgique, Bulgarie, Chypre, Finlande, France, Grèce, Irlande, Malte, Pays-Bas, Portugal et Roumanie). Tous les autres imposent des contrôles techniques pour les motos et les scooters.
"Nous avons bon espoir d'être entendus par les députés européens, qui ont à coeur d'être un rempart démocratique face à une Europe technocratique", a ajouté Eric Thiollier.