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samedi 18 mars 2017

Patti Smith, poétesse habitée (La tribune de Genève)



L’artiste nord-américaine jouait ce week-end à l’Alhambra dans le cadre d'Antigel. Critique et interview.

vendredi 3 mars 2017

Quand Patti Smith donne un concert dingue dans une chapelle pensée par le Corbusier (Les Inrocks)



Ouverture en beauté du dixième anniversaire du festival Génériq, qui dure jusqu’à dimanche dans l’Est de la France. Avec une Patti Smith impériale dans la chapelle futuriste édifiée par Le Corbusier à Ronchamp.


lundi 30 mai 2016

Patti Smith, stations du «train mental» (Libération)




La poétesse rock embarque avec elle ses objets et ses écrivains fétiches.


mercredi 18 mai 2016

«Ecrire sans destination» : rencontre avec Patti Smith (Libération)



Dans son dernier livre, «M Train», dont la sortie nous vaut son passage par Paris, la poétesse du punk rock est fidèle à son image.

lundi 18 avril 2016

Patti Smith, rock'n'Rimbaud (Le Vif)



Lorsque Patti Smith débarque en pleine léthargie rock 1975 avec Horses, elle incarne une androgynie drapée de punk mais aussi une fantasmagorie poétique qui embrasse Dylan, les Stones et Rimbaud.


jeudi 4 février 2016

Patti Smith, Christine and the Queens, et le soupçon d'hystérie (Libération)




Est-il bien juste de qualifier de «diva» ou de «capricieuse» une artiste qui prend une décision ou pousse un coup de gueule ?

mardi 22 décembre 2015

Patti Smith : "Je ne me considère pas comme une musicienne" (Le Figaro)



La légende punk-rock fête les 40 ans de son album Horses et publie M Train, nouveau roman autobiographique peuplé de bons génies. Entre deux concerts à Paris, Patti la rimbaldienne se raconte. Ballade intime d’une âme voyageuse.


jeudi 10 décembre 2015

Patti Smith:«Tu vois du plastique? Ramasse-le!» (Le Figaro)

Patti Smith au micro


Alors que se déroule à Paris la conférence sur le climat COP21, la légendaire rockeuse américaine s'est longuement exprimée sur son engagement auprès de la nature. Elle participe vendredi et samedi à des concerts-débats à Paris.


dimanche 22 novembre 2015

Patti Smith a gardé intacte sa force de conviction (La Libre Belgique)




Pour les 40 ans de l’album "Horses", Patti Smith en rejoue l’intégralité. En plus feutré.



dimanche 1 novembre 2015

L'indomptable Patti Smith à l'Olympia (Le Figaro)



 

La chanteuse américaine célèbre les quarante ans de son album Horses  trois soirées durant, dans la mythique salle parisienne. L'occasion de redécouvrir le parfum du New York des années 1970.
 

mardi 27 octobre 2015

Patti Smith, manège éternel (Libération)





Tandis que la poétesse rock fête les 40 ans de «Horses» à l’Olympia, deux artistes illustrent l’album mythique au siège du Parti communiste.

dimanche 25 octobre 2015

La chevauchée fantastique de Patti Smith à l'Olympia (Télérama)

Patti Smith à l'Olympia
Patti Smith à l'Olympia

Pendant trois jours, Patti Smith revisite sur la mythique scène parisienne “Horses”, son album fondateur qui l'a révélée il y a 40 ans. Avec une intensité, une émotion et un engagement intacts.



Arthur Rimbaud, Jean Genet et William Burroughs, premiers émois littéraires de Patti Smith (Le Figaro)




L'artiste américaine publie ce 6 octobre, M Train, nouvel ouvrage autobiographique et suite de Just Kids. Un livre dans lequel elle raconte ses souvenirs, entrecoupés de descriptions poétiques.

jeudi 8 octobre 2015

“Just Kids”, l'autobiographie devenue culte de Patti Smith (Télérama)



“M Train”, la suite annoncée de “Just Kids” sort le 6 octobre aux Etats-Unis. Il se présente comme un voyage en dix-huit étapes qui mène Patti Smith dans des lieux phares de son univers artistique. Connaîtra-t-il le même fabuleux destin que son prédécesseur, qui cinq ans après sa parution française, se vend toujours autant ?

lundi 3 août 2015

Patti Smith, Sainte icône du punk. Une certaine idée de la révolution (24heures.ch)





Samedi à Paléo, l'américaine a réussi à haranguer la foule jusqu'à la transe avec Horses, son album de 1975. En état de grâce, les nerfs en fleurs.



Patti Smith et son timbre, son phrasé et la rage brute des textes de son premier album, Horses, ont été scandés jusqu’à l’essoufflement, samedi soir, sur la scène des Arches. Et ont suffoqué plus d’un auditeur.

jeudi 30 juillet 2015

Nuits de Fourvière. Parce que la nuit appartenait à Patti Smith (Le Progrès)

Photo Pierre Augros


De l’album « Horses » à « Because the Night », la chanteuse américaine a remonté le temps et ravivé les émotions hier, dans un théâtre antique complet.


En fermant les yeux, rien n’a changé. La voix unique de Patti Smith n’a pas bougé d’un iota : son vibrato, sa profondeur, cette émotion découverte il y a si longtemps avec cette chanson qui ouvrait son premier album, inspirée d’un classique de Them.

mercredi 10 décembre 2014

Patti Smith célèbrera les 40 ans de Horses à Paris, en 2015 (Le Figaro)





Pour l'anniversaire de son premier album, en novembre 2015, la chanteuse américaine prévoit plusieurs manifestations, notamment en France. La suite de son autobiographie Just Kids devrait également voir le jour prochainement.





jeudi 24 avril 2014

Patti Smith: "je ne me considère pas comme une légende" (H24)

photo Mehdy Mariouch
Patti Smith a livré hier un concert chamanique débordant d'énergie positive. Nous l'avons rencontrée, juste avant sa performance. Elle nous a parlé de rock'n'roll, de ses moments de galère mais aussi d'amour.

Écouter la messianique punk Patti Smith parler, c’est un peu comme méditer les yeux grand ouverts. Du haut de ses 67 ans, le porte-voix de la scène culturelle underground des années 70 tient une pêche d'enfer et une foi inébranlable en la vie. Lors d'une rencontre avec la presse organisée hier, Patti Smith nous a donné une leçon de vie.

vendredi 4 avril 2014

Patti Smith raconte Robert Mapplethorpe (L'express)

Tels les Enfants terribles de Cocteau, Patti Smith et Robert Mapplethorpe ont été liés par une complicité qui transcende le temps. Souvent relégué au statut d'artiste maudit, le photographe et peintre américain, disparu en 1986, a exploré la beauté de l'âme humaine jusqu'à ses tréfonds. A l'occasion de la plus grande rétrospective jamais consacrée à son art, présentée au Grand Palais, Patti Smith revient sur leurs plus belles années.

"Une secousse au poignet, l'excitation, le déclic. L'immédiateté. C'est ce qui caractérisait Robert Mapplethorpe. Ses photos étaient un acte physique, une quête fébrile de la beauté. Ses yeux absorbaient le moindre jeu de lumière. Dans le feu de l'action, Robert savait exactement ce qu'il voulait capturer. J'ai été son premier modèle. Je l'ai persuadé de se servir d'un appareil photo, alors qu'il ne voulait que dessiner, perfectionner ses collages et ses installations. Et c'est lui qui a fait de moi une chanteuse, une musicienne. Je rêvais d'être poète. Quand je regarde aujourd'hui mon portrait sur la pochette de Horses, signé par Robert, ce n'est pas moi que je vois. C'est nous deux.

"J'ai rencontré Robert pour la première fois en 1967, à New York. C'était l'été, j'avais 20 ans. Je débarquais du New Jersey en bus, avec ma salopette, ma valise écossaise et un exemplaire des Illuminations de Rimbaud.

Patti Smith et Robert Mapplethorpe

lundi 17 septembre 2012

Patti Smith donne le pouvoir au Peuple de la Fête (L'Humanité)

Point d’orgue musical de cette édition de la Fête de l’Humanité, le concert de Patti Smith a fait l’unanimité dans le public sous le charme de la poésie distillée par la marraine du punk.



La star, qui a accordé récemment plusieurs entretiens à l’Humanité, n’a souhaité parler à personne avant ou après son concert pour mieux se concentrer. Mais loin de rester terrée dans sa loge, elle s’est un peu baladée derrière la Grande Scène avant d’y monter. Après l’électro-swing cadencé de Parov Stelar, place à la poésie Beat et aux guitares, tantôt folk ou électriques.

Because the night, Gloria, Banga, Ghost Dance, Maria, la songwriter enchaîne
 les morceaux d’anthologie des années 1970 à 2012, en les présentant à chaque fois par quelques mots. Hommage tendre à l’actrice Maria Schneider et à Robert Mapplethorpe, célébration du « poète qui lutte en chacun d’entre nous », invitation à se battre pour la liberté et l’égalité, invocation spirituelle de «Mother Nature» et critique de l’argent-roi, tout y est. La voix est toujours aussi puissante, tantôt de velours tantôt éraillée. La cohésion, ou plutôt communion avec les musiciens est tout aussi réussie qu’avec le public, qui brandit dans les premiers rangs ses recueils de poésie et récite par cœur le moindre de ses vers. Chose de plus en plus rare dans les festivals où les concerts sont souvent formatés, elle accorde un rappel après une bonne heure et demi de spectacle de pure magie, clos sur son poing levé "People rule!". Hier soir, l’icône engagée qui ne cache pas son amour pour Paris a bel et bien prouvé qu’elle était toujours aussi moderne et sa musique d’actualité.

Clémence Mary